L’éditorialiste Christophe Barbier est un habitué des phrases chocs en direction des retraités. Il avait déjà déclaré “Les retraités sont des enfants gâtés, ils doivent payer”. Voilà qu’il récidive en disant “Les retraités ont pardonné à Macron. Pardonné la CSG, pardonné la désindexation des retraites. Les retraités veulent que les réformes continuent…” Il est vrai que selon les sondages, les électeurs de plus de 65 ans ont voté massivement en faveur de la liste République en Marche. Cependant, quand on voit le déchaînement de commentaires négatifs sur le Président sur les réseaux sociaux, nous doutons que cette pensée soit partagée par l’ensemble des retraités ! Mais vous quel est votre avis ?
Un commentaire
Monsieur Christophe Barbier, vous êtes ce que je déteste le plus chez un journaliste, celui qui fait des affirmations sur des sujets qui reposent que sur des études et sondages dont on ne sait jamais comment ils sont réalisés. Vous ne précisez pas par exemple le montant de pensions de retraite de ces 30 % et de leur ancienne profession. Votre travail n’est pas une investigation, un vrai travail de terrain, non, c’est de vulgaires commentaires dont le but est de soutenir un président et un gouvernement qui vous convient. Mais je vous écoute depuis si longtemps que rien ne me surprends. Si je sais encore compter, c’est 70 % de retraités qui ont dit non à la politique de Mr Macron et de son gouvernement, c’est cela la vérité. Vous affirmez que Mr Macron a gagné, c’est faire l’impasse que le FN est arrivé en tête de l’élection et c’est loin d’être anecdotique. Pour ce qui est de la deuxième affirmation les Gilets Jaunes (qui vous dérangent depuis le début), ne sont pas mort, les médias (dont vous faites partie) et qui soutiennent LREM ont dans un premier temps voulu imposer leurs représentants à ce mouvement et dans un deuxième temps mis en avant que les violences et très peu de reportage sur les ronds-points et sur le font des revendications. Mise en avant des manifestations parisiennes pour un mouvement qui est d’origine provinciale. Mais là encore, il faut aller sur le terrain et passer du temps et de l’argent. Si vous l’aviez fait vous y auriez vu des retraités avec leurs difficultés pour vivre, se soigner, parfois se déplacer… ,mais pas que. J’aurai beaucoup à dire sur vos prises de position et votre objectivité, mais cela prendrait des heures. Je plains ce pays qui est malmené par ces dirigeants, mais aussi par une grande partie de la presse qui est au ordre de celui-ci.