Souvenez-vous nous vous avions parlé de Maryvonne, 83 ans, qui ne pouvait plus renter chez elle car sa maison était squattée. Nous avions même lancé une pétition afin qu’elle retourne tranquillement chez elle. La justice lui a permis de récupérer son bien mais deux mois après l’expulsion des salopards, la maison est inhabitable car elle est dans un état innommable. Maryvonne déclare”Je ne dors plus, je prends des médicaments pour dormir. Je ne sais pas comment je vais remonter la pente. Et quand je retourne chez moi, ça me fait l’effet d’Hiroshima” Une question: qui va payer pour la remise en l’état?
2 commentaires
Si cette aventure m’arrivait à mon âge ( j’ai 80 ans ) je crois que je n’en survivrais pas .Je pars quelques fois chez des amis pour plusieurs jours et si en revenant ma maison était squattée , tout un pan de ma vie serait détruit . C’est pire qu’un vol ,c’est une atteinte à la propriété impensable et en revenant devant chez soi , que devient on ?
Le laxisme des textes qui empêchent de déloger Manu militari immédiatement un squatter abouti à ce genre de situation inacceptable .Cette malheureuse est loin d’être la seule et il ne faudrait donc jamais s’éloigner de son domicile ,risquant à notre retour de trouver un coucou à notre place que l’on ne peut déloger qu’après des procédures judiciaires interminables .
La législation doit changer er la justice être exemplaire car je ne sais pas comment réagirait un magistrat si une telle mésaventure lui arrivait .
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